VENDREDI 15 AVRIL 2016
Je prends le train pour Nara
Des daims
partout dans la ville. Comme je m'y attendais, au final je
ne suis pas transportée par la situation pourtant incongrue.
Et puis, avec 10 kilo sur le
dos, sac mal adapté pour le portage sur le long terme, ça
démotive.
Je retourne à la gare à
11h, j'avance mon train à 13h
Arrivée à 14h30 au ryokan.
Particularité : pas de haut parleur poir annoncer les trains, mais un employé en chair et en os |
Arrivée à 14h30 au ryokan.
Arrivée dans la chambre, on
me sert le thé, et une friandise, m'explique comment mettre le
yakata.
Je vais au Onsen.
Petit mais plaisant. Très chaud !
Je reste trente minutes, puis demande à la réception de l'aide pour la prise, elle ne semble pas adaptée à mon chargeur universel. Le wifi est super lent. La dame me trouve un adaptateur, ouf !
Je le laisse dans la chambre pour recharger la batterie.
Je reste trente minutes, puis demande à la réception de l'aide pour la prise, elle ne semble pas adaptée à mon chargeur universel. Le wifi est super lent. La dame me trouve un adaptateur, ouf !
Je le laisse dans la chambre pour recharger la batterie.
Je sors pour écrire et lire
dans le parc, au bord de l'eau. Ça fait … 7 mois que je n'étais
pas sortie sans téléphone+internet. #geek
De retour dans la chambre,
je prend un peu de temps pour écrire dans mon carnet.
19h00. Repas Keiseki.
Un peu moins fin que celui de Gion, mais très bon quand même.
Hotel + repas + petit
dej' : 25 000 yen
SAMEDI 16 AVRIL
Petit déj copieux, du salé,
poisson, légumes.
A la gare, un gentil petit vieux qui m'aide à comprendre le fonctionnement de la machine, où tout est écrit en japonais. Heureusement qu'il était là.
A la gare, un gentil petit vieux qui m'aide à comprendre le fonctionnement de la machine, où tout est écrit en japonais. Heureusement qu'il était là.
OSAKA
10h, je dépose mes bagages
dans le logement Airbnb, puis 40 minutes de marche pour accéder aux
rues commerçantes.
Remarque :
Première fois en 10 jours que je vois des gens : fumer, passer au rouge.
Des avertissements de vigilance contre les vols à la tire :
Première fois en 10 jours que je vois des gens : fumer, passer au rouge.
Des avertissements de vigilance contre les vols à la tire :
Des mégots au sol, peu,
mais il y en a.
Et des personnes
handicapées. Vraiment, à Tokyo, je n'ai vu personne en fauteuil ou
avec une déficience visible.
Autre particularité : les mascottes de la ville ou des commerce ont l'air plus déjantées qu'ailleurs.
Autre particularité : les mascottes de la ville ou des commerce ont l'air plus déjantées qu'ailleurs.
Oh, et il y a tellement peu
de touristes comparé à Nara et Kyoto.
Je trouve la ville
plaisante. Des temples, des petites rues, des arcades
commerçantes.
Spécialité culinaire : tokoyaki, et poulpe.
Spécialité culinaire : tokoyaki, et poulpe.
Plein de resto avec une
machine à l'entrée pour commander, avant d'entrer dans
l'établissement.
Une rue avec de la vaisselle
et du matériel pour les professionnel de la restauration.
J'y trouve quelques cadeaux.
J'y trouve quelques cadeaux.
L'après-midi, marcher
encore, puis me poser dans un café avec un ginger ale, puis au bord
du Dotonburi, en attendant
que le soleil se couche.
Rentré à 21h.
Difficulté avec la prise
pour charger le téléphone.
Ecriture dans le carnet.
Dodo de 22h à 4h30.
DERNIER JOUR ET BILAN
DIMANCHE 17
Dernier jour. Train, JR,
Yamanote : retour à Tokyo.
Un
tour à Akihabara
pour acheter une prise.
Mais le bruit et l'agitation
me fatigue.
Pluie en continue.
Ueno,
rue Amayoche, mais je
ne trouve rien à acheter.
Go Asakusa,
senso-ji : j'y achète
de petits souvenirs et cadeaux.
Coup de barre.
Envie d'aller nulle part. Me
pose dans un Seven Eleven, au comptoir.
Saturation.
Lecture.
16h, go aéroport.
Lecture. Ecriture.
Dormi 4h, entrecoupé.
LUNDI 18
Embarquement sans encombre.
Par le hublot, vue sur le
mont Fuji. Suberpe !
Quelques perturbations, ça
secoue ! Certains ont vomis, d'autre pleurés !
BILAN de ce VOYAGE
Très valorisant.
Me rendre compte que je peux
me débrouiller seule.
Aussi loin, avec autant de contraintes (langue, distance, culture).
Aussi loin, avec autant de contraintes (langue, distance, culture).
Je peux donc aller où je
veux. Europe, ou ailleurs.
Comme si mon horizon s'ouvrait d'un coup.
Comme si mon horizon s'ouvrait d'un coup.
Ai apprécié ce voyage,
sans être transcendée, exceptée mon expérience au temple ( ndlr
comme on dit : méditation visualisatrice, dont certaines choses
se sont réalisées. Enfin... disons plutôt que je les aient réalisées, inconsciemment du coup, car j'avais oublié tout ça . C'est en relisant mon carnet que je m'en suis rendue compte) (bref))
J'ai fait tout ce que je
voulais voir, et d'avantage.
Ai tout goûté, ai respecté
mon programme et ai su l'adapter, et oser, et sociabiliser,
m'émerveiller, rationaliser, découvrir …
Le comportement des japonais
est certes différent du notre, mais pas
diamétralement.
L'hyper-urbanisation est parfois étourdissante et amène une certaine saturation à terme.
L'hyper-urbanisation est parfois étourdissante et amène une certaine saturation à terme.
Les parcs et les temples
sont un refuge, même si au bout de 30, on arrête de les mitrailler
de photo.
Je n'ai jamais vraiment été
seule ; mes après midi et soirée, discussion avec mon chéri
et mes amis.
Jamais vraiment été dans l'embarras.
Jamais vraiment été dans l'embarras.
J'ai béni l'appli Google
maps : à pied et pour les transports, indispensable.
J'ai aimé l'hébergement en
auberge de jeunesse, même si j'ai été déçue par le manque de
sociabilisation le soir. Je referais. Ou du couchsurfing.
Le Japon : j'y
retournerais.
Mais davantage en campagne.
Hakone, Hokaido, Fukuoka, des villes excentrées.
Le réseau JR est
suffisamment étendu pour parcourir toute l'ile.
Et puis, j'irai ailleurs.
Vision à long terme.
Mission huma ? Principalement en Asie.
Quelques semaine, ou mois
(conges sabbatique, conges solidaire) ?
Tout le contenu de cette
série d'articles est le recopiage brut de mon carnet, écrit au jour
le jour.
Donc pas de fioritures, pas
de jolies phrases, seulement ce que je vivais et ressentais.
Ce n'était pas toujours évident de tout répertorier, avec la fatigue accumulée (entre mon sommeil capricieux et le rythme effréné de ces dix jours).
Ce n'était pas toujours évident de tout répertorier, avec la fatigue accumulée (entre mon sommeil capricieux et le rythme effréné de ces dix jours).
J'espère que cela vous aura fait voyager et découvrir des petites choses que vous ignoriez sur le Japon.
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