La La Land. #challengecinematographique 42

Voici un film dont on a entendu parler en long et en large. J'ai essayé de ne pas écouter/lire les critiques et résumés en amont, pour ne pas avoir d'attente.
Je n'avais pas envie d'être déçue !

Synopsis :
Elle veut devenir comédienne,
Il veut ouvrir un club de Jazz.
Ils se cherchent, se trouvent, se perdent, dans leurs relations autant que dans leurs ambitions.

Mon avis :
J'ai été surprise que ça chante et que ça danse d'emblée. Egalement surprise que cela ne me lasse pas. En tout cas, en vostfr, ça passe très bien,  je n'ai pas ressenti l'agacement qu'on peut avoir sur certains films de type comédie musicale.
Plaisant visuellement également, avec des couleurs vives et un petit côté année 50.
Je ne suis pas assez calée en techniques cinématographiques, mais mon chéri l'est. De jolis plans et des cadrages intelligents.

J'ai souri quelques fois, été émue parfois.
Sans vous spoiler, à la fois désapointée et enchantée par la fin, qui n'est pas celle que j'attendais.

Sans être aussi dithyrambique que les critiques de l'époque , j'ai trouvé que c'était simplement un beau et bon film.

Film : L'hermine. #challenge cinématographique

Comme beaucoup, j'aime énormément cet acteur.
Pour son humour, ses mimiques, son érudition.

C'est principalement pour ces raisons _ et parce que mon chéri m'a conseillé ce film _ que je me suis posée devant ce DVD avec mon plateau repas (une salade et du poisson, si vous voulez tout savoir).

☆ Synopsis :
Michel Racine est un président de cour d'assise réputé pour son intrensigeance.
Son quotidien va être bousculé lorsqu'il va se rendre compte que dans dans le jury figure une femme qu'il a secrètement aimé il y a quelques années.

☆ Mon avis :
C'est un film atypique. Toute l'action (ou presque) se déroule dans la salle d'audience du tribunal et dans le café adjacent, où se cantonne la relation qui se re-crée entre le président et son ancienne infirmière, pour ensuite s'immiscer lors des audiences, par le biais de regards et de sourires discrets.

Les trois mots qui me viennent à l'esprit en pensant à ce film, c'est : justesse, tendresse et réalisme.

J'ai passé un bon moment, j'ai même été surprise par l'émotion qui m'a submergée à un moment du film. 

  

Film : "Gone Girl"

Franchement, ce film dont tout le monde me parlait, j'ai eu du mal à me mettre dedans.
Je m'y suis carrément reprise à trois fois, sur 4 mois de temps !!

Et puis, je me suis concentré, j'ai perséveré, et il y a ce moment où tout bascule, et je me suis dit ... oui... bon ok, ca valait le coup de persister.

Synopsis : Un soir en rentrant chez lui, il découvre que sa femme a disparue. Commence un jeu de piste haletant, une enquête qui semble se retourner contre lui, et des apparences trompeuses, de toutes part ...

Mon ressenti :
Les rebondissements ne manquent pas, les effets de surprises sont bien présents ( il y a même un moment où je me suis redressée, la main sur la bouche pour réprimer une exclamation stupéfaite ).
Je n'ai pas tellement apprécié la fin, et l'ensemble était tout de même assez long, mais ca reste un bon thriller.

Je suis la seule à ne pas avoir été totalement emballée ?

Challenge cinématographique : Take Shelter.

Ce film était sur mon pc, impossible de me souvenir qui me l'a conseillé. Je l'ai lancé sans aller lire le résumé, en ayant donc aucune idée du synopsis.

Au début, j'ai eu peur qu'il s'agisse d'un banal film catastrophe. Mais non. Enfin si ... mais non ...
J'ai failli me détourner de l'ecran. Agacement contre cet homme qui ne se confie pas à sa femme (si incroyablement parfaite, du début à la fin), quelques lenteurs et agacement ... oui, le personnage de Curtis m'agace prodigieusement !

(En gros, c'est l'histoire d'un gars qui fait des cauchemars liés à une tornade. Ca va l'obseder . Conditionner sa vie et celle de son entourage)

J'ai finallement plutôt apprécié ce film.
Il montre les travers du protectionnisme, qu'on peut rapporter à une plus grande échelle, qui mène à l'étouffement,
l'engrenage de la folie, paranoïa, son combat (trop) intérieur,
la cellule familiale comme refuge, quite à la détruire et l'entraver.

Je ne sais pas si j'ai aimé la fin. Je ne sais pas comment l'interpréter , je ne sais pas si ca doit être analysé ou si c'est purement factuel.

Avis mitigé, mais à voir quand même.

Écrit et réalisé par Jeff  Nichols.
2011.