vendredi 29 décembre 2017

Chili : Valparaiso en deux jours. #CityBreak 10

Samedi 24 décembre.

Après 2h de bus et 40 minutes de marche au soleil, bien chargée à traverser la partie peu touristique de Valparaiso (graffiti pas artistiques, rue sale, pas accueillant), j'arrive au logement dans lequel je vais passer quelques nuits.

Il s'agit d'une coloc où je suis invitée par une des membre du groupe FB de voyageuses durant son absence. Pour Noël il y a seulement Claudio, qui m'accueille chaleureusement.
On discute un peu (il ne parle pas anglais, de quoi m'obliger à pratiquer le peu d'espagnol que je connais), il cuisine, me fait visiter les hauteurs de la ville :


 








De retour au logement, impossible de rallumer le gaz. On ne mangera que la salade puis on se rendra chez Isaac, un de ses amis qui tient une auberge de jeunesse pour passer le reste de la soirée avec les résidents.


Dodo à 3h du mat

Dimanche 25 décembre

Levée à 10h, conversation vidéo avec ma famille puis avec mon chéri. Ca fait du bien de les voir.
Petit déj salé à base de purée d'avocats, j'adore ca !

Puis balade à travers la ville, downtown :





Petit rafraichissement :


Et on se dirige chez Alfredo et sa famille (sa soeur et leur tante) pour cuisiner et partager le repas de Noël de la veille. Il s'agit d'un plat péruvien (un peu en mode fusion italiano (pasta) / asiatique (sauce soja gingembre)) , avec la fameuse sauce Huancaina faite maison, trop bon !




Même si parfois je décroche de la conversation, l'ambiance est agréable.

Digestif (cola con mono. comme du bailey mais plus doux) et pan de Pascual (pain d'épices peu sucré avec des fruits confits)


Puis on a regardé 2 bons films en espagnol sous titré anglais. "Le cœur de l'océan" et "Colonia Dignitad".

Retour au logement et les choses se compliquent.
Le propriétaire est de retour et suite à un quiproquo ils ont finalement besoin de la chambre où je dors pour le jour d’après.
Je dors ici cette nuit mais la prochaine, ce sera auberge. (croyais-je)



Mardi 26 décembre

Je pars à 10h me balader. Visite rapide du cimetière juste à coté. Je ne lui ai pas trouvé grand intérêt, un peu délabré.

Musée à ciel ouvert : lieu où se trouvent regroupé des fresques. Je ne suis peut-être pas allée aux bons endroits mais je n'ai rien vu d'extraordinaire par rapport à ceux de la veille.

Repas : j'ai goûté mon premier cazuela ! Dans un bui bui pas cher. Super bon !


Parque Culturel : des expos (mais comme à Santiago l'accès m'a paru obscur), une cafétéria et un parc ou je me suis installée pour lire et profiter du beau temps.

Je rentre vers 17h.
L'ami de Claudio, Isaac, ( vous suivez ?) qui tient l'auberge, ne répondant pas, c'est Alfredo et sa famille qui m’hébergeront pour une nuit.
Dans l'après midi, je me suis fait un nouveau plan de route. Avec les balades en compagnie de Claudio et le Free Walking Tour prévu demain, je pense qu'ensuite je vais tourner en rond. Jolie ville mais je ne m'y sens pas particulièrement à mon aise.

 


Il faudrait que je sois le 30 décembre à San Pedro de Atacama. Mais pas avant car … il y fait froid et il n'y a pas trop de wifi.
J'ai adoré Santiago mais je ne vois pas l'intérêt de refaire ce que je connais.

J'ai jeté mon dévolu sur Copiapo, à mi chemin. Deux jours, une nuit.
10h de bus, que je réserve en ligne (coût supplémentaire : 50centimes mais ça me tranquillise plutôt que d'acheter le ticket au dernier moment au terminal).
Puis je vais sur HostelWord pour réserver une auberge ... rien ! Nada !! C'est bien la première fois que ca arrive...
Heureusement, il restait une chambre (une vrai ! pas un dortoir !!) pour 20e dans un petit hotel pas loin du centre. Ouf !


Soirée : faire les courses avec les femmes de la famille; à 21h. Tout est encore ouvert, et rempli de monde. Quel rythme de vie !
Repas (sandwitch avocat tomate mayo poulet) devant un film (assez nul) "Doctor Strange".


Mercredi 27 décembre

Après un bon petit déjeuner, je me rend au :

  Walking Free Tour.
 Intéressant, je revois la plupart des lieux (les hauteurs, le downtown et le port) que m'a fait visiter Claudio mais avec des explications plus étayées.


 





Je repasse chez Alfredo pour prendre mes affaires; pour prendre le bus à 16h,
qui m'emmène à Santiago,
20 minutes de marche pour changer de terminal.
Bus de nuit à 20h.




Info pratique, anecdote et observations

Noël  : peu de décorations, que ce soit ici ou à Santiago. Probablement trop de soleil pour être dans l'esprit merry christmas ?
 Pas tellement d'ambiance mercantile non plus. La famille chez qui j'ai passé Noël me disaient que les cadeaux s'ouvraient dans la nuit du 25 décembre.

Petit déjeuner : Dans les 2 endroits où j'ai dormi (coloc et famille), le matin c'était avocat écrasé sur tartine de pain. J’adore. Il faut dire que leurs avocats sont toujours murs et savoureux comme il faut. Depuis que je suis au chili j’en fais une cure. Mais je n'avais pas pensé a l’intégrer à mon ptit dej lorsque les auberges ne le proposent pas.

Propina : Le pourboire. A Santiago, je vous disais que c’était automatiquement prélevé sur l’addition totale. Ici, non.

Anecdotes issues du Free Walking Tour :
Peintures murales : si c'est votre mur, vous y peignez/faites peindre ce que vous voulez. Si c'est le mur d'un tiers, vous lui demandez son autorisation. Si c est un mur de la ville… il y a toute une procédure. Beaucoup préfèrent… graffer la nuit.

Cette église a 2 particularités.


A son sommet, un gouvernail.
Sur l'horloge, le 4 … n'est pas conforme au IV des chiffres romains. Simplement parcequ' ils ne trouvaient pas ca esthétiquement cohérent. Recherches faites, effectivement :
http://balises.bpi.fr/vie-pratique/pourquoi-les-horloges-anciennes-affichent-elles-pour-le-4-en-chiffres

Valpo, la ciudad del perros.
Ici plus qu'ailleurs en Amérique Latine, le chien est roi. D'après Claudio et le guide du Free Tour, chaque chien ou petite meute a son quartier, ses habitudes.
Deux d'entres eux nous ont suivi du début a la fin de la balade.
Avant j'en avais un peu peur; a mon arrivée en Argentine il m'arrivait de changer de trottoir pour les eviter. Mais là ... d'une il y en a trop,
de deux, je ne sais pas pour quelle raison, mais ces chiens sont d'une docilité ! Mucho pacifico.




• toujours avoir des petites coupures (1000pesos) ou des pièces dans la poche.
1/pour les pourboires impromptus (que même si t'as pas envie parceque t'es radin mais que bon...) :
par exemple un gars vous charge ou décharge votre gros sac dans la soute du bus ... ou pour les employées de supermarché qui mettent les provisions dans le sac.
Avoir ces quelques sous à part évite de farfouiller dans votre porte monnaie/sac banane, et de montrer que vous avez des coupures de 10000 ou 20000 pesos...

2/ si tu te fais aggresser, tu donnes ca... pour te laisse le temps de reagit et heu... de courir ?
Quel optimisme...


immertion, ressenti
J'ai apprécié le fait d'être en immertion dans la vie chilienne. De belles rencontres et partager ensemble un repas, parler des ressemblances et divergences d'un pays à un autre...

Mais...
Fatiguant de se conformer au rythme de vie des autres. Déjeuner à 15h, se coucher super tard ... ce n'est pas dans mes habitudes. Ne pas décider toute seule ce que je veux voir ou faire, et faire la conversation ...
Mettre de coté mon caractère on solitaire/ pas toujours sociable, ca m'a un peu épuisée 😆😆





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dimanche 24 décembre 2017

Santiago du Chili en 5 jours. #CityBreak 9



Mardi 19 décembre
Le bus arrive en avance. 7h au lieu de 8. C'est bien la première fois que ca se produit !
Je prends le métro et marche un peu pour déposer mon gros sac à l'auberge Santiago Backpackeurs.

 



L'endroit me plait, et après confirmation des dates pour mon presque couchsurfing à Valparaiso la semaine d’après, je rajoute 4 nuits dans cette auberge. L'emplacement est idéal, 5 minutes du centre à pied, et les infrastructures sont top. Grands casiers dans les chambres, petit dej' à volonté, suffisamment de prises pour recharger le téléphone, parfait ! Pour le moment, la meilleure auberge où j'ai dormi.

Balade du matin :
Cerro Santa Lucia. Ca grimpe mais c'est plaisant de traverser ce parc qui se compose de plusieurs jardins en palier. Tout en haut, un panorama à 360°.






Plaza des Armas : cette place porte le même nom que toutes les places centrales des villes d'Amérique Latine. Un kiosque, des bancs, petits espaces verts, le tout entouré d'imposants bâtiments, dont la cathédrale, la poste et la casa de gobernadores (mairie).





Il est midi, je me rends à un resto péruvien que j'ai repéré sur la liste des recommandations de l'hostel. Oui … le premier resto que je fais au Chili est péruvien. Frustrée de ne pas pouvoir y aller cette année, j'avais envie de tester au moins leur cuisine !

Resto Aji seco :
C'est le premier Ceviche (se dit aussi Cebiche) que je dégustais. Du coup je n'ai pas de point de comparaison mais je l'ai trouvé très bon ! Il s’agit d'un mélange de poissons crus. Dans cette version améliorée, il y a également du poulpe, crabe, crevette. Patate douce, maïs frais et secs.



Avec l'apéro (Pisco sour ! so goooood ! accompagné de pain brioché et de deux sauces : ail et piment muy piquente !) et les 10% de pourboires (obligatoire… paiement par CB, c'est prélevé direct), total addition  21e

Retour à l'auberge pour le check-in. Je m'installe. Mais vraiment : je sors mes vêtements de mon sac, les dispose dans l'armoire ainsi que mes affaires de toilettes. 15 jours que ca n'était pas arrivé (je ne depackte pas tout lorsque je ne reste que 1,2 ou 3 nuits à un endroit).

Je ressors en milieu d'après-midi. Quelques courses dont l'indispensable crème solaire  (30° et pas un nuage).

Rue de Londres et de Paris. Considérées comme très typiques. Moui. Quelques pavés dans la rue à la place du macadam et quelques bâtiments d'architecture un peu différentes n'en font pas un Montmartre bis.



Me perdre dans les rues du centre. Estado, san Antonio, Ahumada, Santo Domingo, 22 de mayo …
L'ambiance est animée, vivante, bruyante. Beaucoup de vendeurs ambulants (ils vendent de tout, vraiment ! semelles, electronique, mouchoir, casquette, fruits découpé ou en jus, sandwich, fruits et légumes...) et de spectacles de rues.

Je rentre, il est déjà presque 18h. Le temps de me préparer et je me rends au repas gratuit de l'auberge. J'aime bien le concept ! Ca permet de papoter et de créer quelques liens pour les jours à venir. Ce sera pasta aux légumes. Muy bièn !


Mercredi 20 décembre
Petit déj à partir de 8h30. C'est tard car j'aimerai partir vadrouiller tôt; mais je ne veux pas me passer de ce repas qui ma foi, dans cette auberge est particulierement garni :

Avec crêpes faites maison !

9h, c'est parti pour :
Parc forestal. Tout en longueur. Espace vert et nombreux bancs, rien de particulier si ce n'est qu'il abrite le musée des beaux-art.

Mercado La Vega : c'est en cherchant le Mercato central que je suis tombée sur celui-ci. Qui se situe à 15min à pied l'un de l'autre, oui, je me suis quelque peu égarée mais tant mieux ! Il s'agit d’un marché couvert de fruits et légumes principalement, assez peu touristique, hormis les restaurants à l'étage. J'y ai fais mes courses de la semaine.





Mercado central : j'y ai juste jeté un œil, là où s'entassent tous les restaurants. Comme mon sac était lourd de mes emplettes, je n'ai pas été plus loin. J'y retournerai si j'ai le temps.

Je rentre à l'auberge, me fais une assiette de riz tomate poivron. Je ressors vers 15h pour :

Barrio (=quartier) Bellavista : street art, rues animées notamment Rio Nono et sa multitude de restaurants. Ambiance un peu particulière mi-tourisrique, mi alternatif, j'ai plutôt aimé même si c'est agaçant de se faire alpaguer par les rabatteurs tous les 2 mètres…




Cimeterio : j'ai pris le métro (ligne 2, jaune) pour visiter le cimetière, donc. Celui-ci et vraiment particulier car les sépultures sont très diversifiées et certaines sont richement décorées.  Je l'ai largement préféré à celui de Buenos Aires, pourtant bien plus touristique.








Cerro Blanco : un parc avec un panorama. Oui mais … sur la carte ça ne paraissait pas si loin du cimetière. Le quartier était moins accueillant, je me sentais sur le qui-vive. Une fois dans le parc, des affaires au sol me laissait penser à quelques squattages … bref je n'ai pas insisté et je suis ressortie de l'autre côté pour prendre le premier métro à proximité.


Retour à l’auberge.  Écriture, lecture, repas, dodo.



Jeudi 21 décembre

Je pars à 9h pour le :

parc bicentenaire au nord de Santiago. Très grand parc qui comprend un zoo, des piscines et une colline qui culmine à 850m. On peut accéder au cerro San Cristobal par le funiculaire (3200pesos = 4.30e) ou à pied.


Je commence l'ascension, me trompe de chemin (évidement)
 (ne prenez pas la bifurcation à gauche qui parait plus forestier. Continuez sur la route bitumée), ce qui me fait perdre une bonne demi-heure.

La montée est plutôt ardue (mais rien en comparaison du Fitz Roy d'El Chalten), et au bout d'une petite heure il me semble, j'arrive en haut.

Une grande avenue bordée de palmiers,

Un chat,

Des chants et des édifices religieux, et la fameuse Vierge Marie qui surplombe la ville ...




...qui reste sous son voile de pollution. Parait-il qu'en y allant un lendemain de jour de pluie, cela dissipe le nuage et permet de voir la cordillère des Andes bien plus nettement.


Je redescends tout à pied, avec pause pique-nique à mi-parcours. Je m'étais préparé une salade de riz tomate poivron.

Je me dirige ensuite à quelques mètre de la, pour la visite de :

la chascona. Il s'agit d’une des maison de Pablo Nerudo, celle-ci ayant été construite poir son amante puis compagne Mathilde. On traverse une succession de pièces conçues et décorées par l'artiste.

 C'est assez intéressant, surtout grace aux explications en français dans l'audio-guide, mais à mon sens ça  ne vaut pas les 9.5e.

Je reprends la marche à travers le quartier Bellavista et Patronato via la rue Filomena, qui est moins touristiques (moins de resto) mais tout aussi riche en street art.



Je m'arrête au :
Mercado central. Principalement un marché au poisson (mon tee shirt en gardera un souvenir olfactif … obligée de le laver une fois rentrée), et une multitude de restaurants.

 

Mais le fait de me faire alpaguer, parfois un peu agressivement par les rabatteurs m'a donné envie de fuir !

Je rentre à l'auberge vers 14h30.
Lessive, douche, ecriture, petites courses.

Le soir est organisé une dégustation de vins gratuite par l'auberge.


Cabernet sauvignon, guitare et ptit gateaux apéro !



Vendredi 22 décembre

10h, rendez-vous plaza de armas pour le walking free tour.

 J'aime bien y participer mais seulement lorsque j'ai déjà bien vadrouillé dans la ville, sinon ca me gâcherait mon plaisir.





Le tour était très intéressant, j'ai retenu quelques anecdotes (dont une croustillante) que j'ai glissé en fin d'article.

A midi, il propose de manger dans un resto de son choix (qui ne me plait pas) ou de se retrouver dans 45 minutes. Je pars en quête d'un lieu où manger ; ce sera un plat … argentin. (oui … j'ai fait deux resto en 4 jours, aucun Chilien. Ce sera pour demain !).

Polverone grillé, specialité argenrine


Forcément l'heure du rdv avec le groupe du free tour est dépassée mais ce n'est pas grave. Il ne restait que deux lieux que je connaissais déjà ; et j'ai envie d'explorer le quartier où je me trouve :

Lastarria. Beaucoup de restaurants mais je le trouve plus plaisant que Bellavista. Il y a ici comme un air de dolce vita.

Je décide d’aller flâner au centre culturel GAM. Sauf que je mettrais une heure à tourner en rond avant de le trouver. Pas qu'il soit difficile d'accès mais à force de me tromper de route, de tourner à gauche au lieu d'à droite… bref !

Le GAM parait comme neuf, épuré et moderne. Mais les expo sont payantes, le coin restauration/boisson est cher, je profite juste de la petite braderie livres et disques qui se tient dans le hall.


Je prends le métro pour rentrer.
Il est 17h lorsque je me pose à l'auberge avec un verre de jus de fruit et mon carnet. Puis lecture. Repas (salade maïs pomme de terre courgette et avocat). Je m'entraîne à l'espagnol avec l'appli Duolingo et dodo.


Samedi 23 décembre

Je n'ai pas prévu grand-chose pour aujourd'hui. Un rdv au métro avec une des filles du groupe de backpackeuses sur fb ;  mais faute d'Internet pour communiquer (ma carte sim semble mal fonctionner), on se loupera.

Rdv avec une autre fille pour prendre l'apéro ; c'était vraiment agréable et on s'est rendue compte qu'en France on habitait pas loin l'une de l'autre !

Et dernier rdv, resto prévu depuis quelques jour mais elle décommandera.
J’ai enfin par gouter un plat chilien ; le pastel del choclo.



Très bon mais très riche !

Je passe par l'auberge déposer mon sac et appeler mon chéri, puis ressort pour visiter le musée d'art pré-colombien.



Je rentre en mangeant une glace



Puis prépare mon gros sac car je quitte Santiago le lendemain



Astuce observation et anecdotes :

☆ Carte bus et métro : Procurez vous une carte BIP! où vous pouvez charger des trajet de bus et de métro.
Elle s'achète dans les kiosques dans les stations de métro.  Autant vous pourrez prendre le métro sans (achat ticket papier), autant le bus ne fonctionne qu'avec cette carte.
il me semble qu'elle est également valable à Valparaiso.

Fonctionnement du métro : au début j'avais du mal car le plan général n'est affiché que sur les quais. J'aime bien savoir avant où je vais !
Donc j'ai pris le plan en photo mais de toute facon ça devient assez vite intuitif.
En gros, la ligne centrale 1 (rouge) et les 3 autres lignes qui se connectent à divers endroits.

Connection aéroport : au terminal Almeda, il y a des bus qui s'y rendent toutes les demi heure.


Connection Valparaiso : au terminal Almeda et Parajero, il y a des bus qui s'y rendent toutes les demi heure.

☆ La propina : il s'agit du pourboire. En Argentine, c'était connu qu'il convenait de laisser un pourboire de 10%.
Mais rien d'obligatoire. Tu passes juste pour un gros radin.
Au Chili, pas le choix, la propina est ajoutée sur l'addition directement, quel que soit le mode de paiement. Mouis. Et si le service ne m'a pas plus hein ??

☆ En ville on voit parfois de looongues files d'attente. En argentine c'était devant les banques; ici ils font le piquet devant le guichet de la loterie nationale.
Un des tirage correspond au numéro de carte d'identité.

Café con piernas : boire du café est une habitude récente au chili. Il y a quelques décennies ils n'aimaient pas ça. Et puis il y a eu Starbuck et puis ... les cafés avec jambes.
Des établissements aux vitres teintées sur la partie supérieure qui ne laissaient apparaitre que les longues jambes dénudées des serveuses.
Certains cafés on été fermés car il s'y passait davantage de choses que prévue ...
Dans celui qu'on a vu lors du Free Walking Tour, les hotesses étaient habillées en mère Noël ultra sexy.


Bilan :
4 jours de visite peuvent être suffisants.
Dans les guides il est souvent mentionné que santiago est moins renommée que ses consoeurs Buenos Aires ou La paz, mais que tout de même, il ne faut pas négliger d'y passer 2 ou 3 jours *ton condescendant*

Personnellement j'ai préféré Santiago à Buenos Aires, qui était trop occidentale et donc peu dépaysante.
J'ai l'impression que Santiago a davantage d'identité et de caractère que la capitale argentine.

Santiago est vivante, animée, avec un grand choix de parcs pour se ressourcer ou pique-niquer.
J'avoue que j'ai un petit pincement au coeur de la quitter.


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